Nouvelle étude : Le manque d’empathie de l’employeur nuit à leur rendement au travail, affirment les travailleurs
Le 14e sondage annuel L’état du capital humain de Dayforce se penche sur les plus récents défis auxquels se heurte le monde du travail, et plus particulièrement sur la recherche d’un juste équilibre entre la volonté de faire progresser l’entreprise et les besoins des employés. Les résultats de cette étude révèlent cependant que de nombreux employeurs ont du mal à trouver cet équilibre, et qu’ils en paient les frais.
À l’ère de la Grande Démission, les employés ont obtenu des gains importants. Les organisations faisaient en effet tout ce qu’elles pouvaient pour attirer et fidéliser les meilleurs talents et soutenir le rendement au travail, en augmentant leurs cotisations patronales équivalentes aux régimes de retraite et de congé parental, et en offrant davantage de flexibilité quant au lieu et à l’horaire de travail, comme le souligne cet article de la Society for Human Resource Management (SHRM) publié en 2021.
Mais à mesure que l’économie et le marché du travail devenaient moins prévisibles, l’exode des employés a ralenti et les employeurs ont regagné du terrain. Confrontées à la complexité et à l’incertitude, de nombreuses organisations ont réduit leurs efforts pour plaire aux employés en recentrant leurs priorités sur l’amélioration du rendement organisationnel. Il y a cependant un hic. En effet, la pénurie de main-d’œuvre et les écarts de compétences n’ont jamais réellement disparu, de sorte que l’expérience employé revêt toujours une importance aussi cruciale.
Résultat : les employeurs d’aujourd’hui sont coincés dans un perpétuel exercice d’équilibre, oscillant entre une série de priorités concurrentes :
D’une part, les employés sont confrontés à la même incertitude que leur employeur, mais ne sont pas toujours bien préparés à y faire face. Le changement est en effet au cœur de l’expérience de la main-d’œuvre d’aujourd’hui, 81 % des travailleurs interrogés affirmant que leur employeur a procédé à des changements organisationnels au cours de l’année écoulée. Et toute cette incertitude génère beaucoup de stress.
L’attention renouvelée portée à la productivité pousse notamment de nombreuses organisations à fixer des objectifs de rendement plus ambitieux. Or, 70 % des répondants dont l’organisation avait introduit un tel changement affirment que leur niveau de stress a augmenté.
Bien que la progression des objectifs de rendement soit essentielle à la croissance de l’entreprise, le stress, la démotivation et le risque de départ des employés ne doivent pas inévitablement faire partie de l’équation. En offrant des ressources et un soutien appropriés, les employeurs peuvent trouver le juste équilibre entre les besoins de l’entreprise et ceux de leurs employés.
Une majorité écrasante des travailleurs que nous avons interrogés affirment que leur employeur pourrait en faire plus pour augmenter leur productivité.
L’empathie est également importante pour les employés. En effet, 90 % des travailleurs affirment que plus d’empathie de la part de la direction de leur entreprise créerait une différence positive dans leur vie professionnelle, notamment aux chapitres de la satisfaction au travail, de l’épuisement professionnel et de la fidélisation – autant de facteurs pouvant avoir une incidence sur les résultats recherchés par les employeurs d’aujourd’hui.
Pour en savoir plus sur la recherche d’un équilibre entre les besoins de l’entreprise et ceux des employés, consultez les données et les constats de notre 14e rapport annuel L’état du capital humain. Vous y découvrirez comment trouver un équilibre entre innovation et gestion du changement, entre productivité et flexibilité, et entre empathie et efficacité de manière à susciter durablement un rendement accru.
Téléchargez votre exemplaire dès aujourd’hui.
Mais à mesure que l’économie et le marché du travail devenaient moins prévisibles, l’exode des employés a ralenti et les employeurs ont regagné du terrain. Confrontées à la complexité et à l’incertitude, de nombreuses organisations ont réduit leurs efforts pour plaire aux employés en recentrant leurs priorités sur l’amélioration du rendement organisationnel. Il y a cependant un hic. En effet, la pénurie de main-d’œuvre et les écarts de compétences n’ont jamais réellement disparu, de sorte que l’expérience employé revêt toujours une importance aussi cruciale.
Résultat : les employeurs d’aujourd’hui sont coincés dans un perpétuel exercice d’équilibre, oscillant entre une série de priorités concurrentes :
- Offrir aux employés la flexibilité qu’ils recherchent tout en maintenant une conformité rigoureuse
- Faire preuve d’empathie tout en maximisant l’efficacité.
- Répondre aux attentes des employés tout en tenant compte des réalités budgétaires.
D’une part, les employés sont confrontés à la même incertitude que leur employeur, mais ne sont pas toujours bien préparés à y faire face. Le changement est en effet au cœur de l’expérience de la main-d’œuvre d’aujourd’hui, 81 % des travailleurs interrogés affirmant que leur employeur a procédé à des changements organisationnels au cours de l’année écoulée. Et toute cette incertitude génère beaucoup de stress.
L’attention renouvelée portée à la productivité pousse notamment de nombreuses organisations à fixer des objectifs de rendement plus ambitieux. Or, 70 % des répondants dont l’organisation avait introduit un tel changement affirment que leur niveau de stress a augmenté.
Bien que la progression des objectifs de rendement soit essentielle à la croissance de l’entreprise, le stress, la démotivation et le risque de départ des employés ne doivent pas inévitablement faire partie de l’équation. En offrant des ressources et un soutien appropriés, les employeurs peuvent trouver le juste équilibre entre les besoins de l’entreprise et ceux de leurs employés.
Une majorité écrasante des travailleurs que nous avons interrogés affirment que leur employeur pourrait en faire plus pour augmenter leur productivité.
L’empathie est également importante pour les employés. En effet, 90 % des travailleurs affirment que plus d’empathie de la part de la direction de leur entreprise créerait une différence positive dans leur vie professionnelle, notamment aux chapitres de la satisfaction au travail, de l’épuisement professionnel et de la fidélisation – autant de facteurs pouvant avoir une incidence sur les résultats recherchés par les employeurs d’aujourd’hui.
Pour en savoir plus sur la recherche d’un équilibre entre les besoins de l’entreprise et ceux des employés, consultez les données et les constats de notre 14e rapport annuel L’état du capital humain. Vous y découvrirez comment trouver un équilibre entre innovation et gestion du changement, entre productivité et flexibilité, et entre empathie et efficacité de manière à susciter durablement un rendement accru.
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